CELTES, LAMBRUSQUES ET TONNEAUX
Bélingard : Beleen gaard, Jardin du Soleil
Belin ou Beleen (Belenos), Dieu Celte du Soleil a donné son nom à Bélingard : Beleen gaard, Jardin du Soleil. En effet a été découvert sur ces lieux un rocher taillé en forme de siège, ancien trône de sacrifices.
De nos jours, ce ne sont plus de jeunes vierges ou de valeureux soldats dont on vous parlera, mais de passion du vin et du terroir.
Et même si l’Histoire n’est jamais loin, on vous parlera de cépages, des vendanges et des vinifications. C’est là que sept générations d’une même famille se sont efforcées de glorifier ce terroir argilo calcaire accroché sur les pentes des coteaux de la rive gauche de la Dordogne.
Depuis 1820…
Suite à la refondation du Château Bélingard par Rose Clair Ste Croix Clauzel, les hommes se sont succédés :
- à Hyppolite : la constitution du domaine par l’acquisition et l’échange d’une myriade parcellaire et la construction de la maison.
- à Paul : l’entretien du vignoble en parallèle à son métier de Médecin.
- à Marthe l’attachement à cette terre.
- à Blanche et Paul son mari, le maintien contre vents et marées, guerres et paix.
- à Pierre : le bâtisseur, l’extension du vignoble et les premiers succès commerciaux.
- à Laurent et Sylvie : le passage au monde moderne, dans les vignes, les chais, le commerce et aussi la prise en compte des préoccupations environnementales.
Au tournant des années 1980…
Laurent et Sylvie de Bosredon ont assumé la gestion du domaine et incarné l’esprit familial.
Après leurs études universitaires et leurs premières expériences dans de grands groupes industriels et commerciaux, Laurent et Sylvie ont pris à bras le corps un métier et une passion pour lesquels ils étaient néophytes.
Curiosité et ouverture aux autres ont été leur credo. Attentifs à n’ignorer aucune nouvelle technique, viticole, œnologique ou marketing, ils ont modelé le Château Bélingard d’aujourd’hui.
Aujourd’hui…
L’équipe, encadrée par Laurent de Bosredon, prodigue ses meilleurs soins à la production des Grands Vins de Bergerac et Monbazillac.
Chacun à son époque, à son rythme, à son idée, a façonné l’âme de Bélingard
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